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J’ai rencontré Amar en Algérie, j’avais 18 ans. Il étudie aux Beaux-Arts d’Alger. Je le vois souvent. Sinon, on se parle par sms interposés. On marchera dans le Hoggar, un jour. C’est peut-être là, que je commencerai à comprendre qui je suis?
Amazigh, le frère d'Amar, Lilla, sa soeur et Saïd, son père.
Ce que j'aime en Algérie, c'est que quand je m'en éloigne, j'habite plus profondément dans le coeur de ceux qui restent.
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